1. – corridor Brazzaville-Ouesso-Bangui-N’Djamena (Congo-RCA-Tchad);

2. – interconnexion du Cameroun avec les autres pays de la Cemac par fibre optique ;

3. – construction du port sec de Beloko (corridor Douala-Bangui) ;

4. – aménagement hydroélectrique du barrage de Chollet et lignes électriques Cameroun-Gabon-Congo-RCA) ;

5. – construction d’un pont sur le fleuve Ntem, facilitation du transport et amélioration de la sécurité routière sur la route transnationale Kribi-Campo-Bata reliant le Cameroun à la Guinée équatoriale ;

6. – construction de la voie express Lolabé-Campo (40 km) entre le Cameroun et la Guinée équatoriale ;

7. – construction de la route Ndendé-Doussala (144 km) entre le Gabon et le Congo ;

8. – construction de la route Kogo-Akurenam (sud-est Guinée équatoriale et Gabon) ;

9. – interconnexion de réseaux électriques Cameroun-Tchad ;

10. – construction du port sec de Dolisie (corridor Gabon-Congo) ;

11. – Université inter-États Cameroun-Congo (UIECC).

Selon Jeune Afrique, “le financement de ces projets semble assuré par les 3,8 milliards d’euros qui ont été promis par la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (BDEAC), la Banque africaine de développement (BAD), SX Capital Holdings et la société scandinave CCA, ainsi que par l’entreprise chinoise Gezhouba pour l’aménagement du barrage de Chollet”. Le site panafricain ajoute que “tous seront financés sous forme de prêts, à l’exception de l’UIECC, qui bénéficiera exclusivement de dons”.  Puis « la réalisation de ces chantiers étant prévue sur cinq ans (2021-2025) », a indiqué la même source.