Pascal Ngbanda, un fervent chrétien catholique, enseignant à la retraite, décide de mettre en public une révélation du vendredi 27 octobre 2017, en lien avec la situation du pays depuis les indépendances. Oubangui Médias publie cette révélation pour l’analyse de chaque lecteur.

Révélation du vendredi 27/10/2017 au mont des oliviers.

1) Votre frère Pascal Ngbanda, au cœur brisé, porte à la connaissance des centrafricains le secret de la souffrance de notre pays qui m’a été révélé depuis le 27/10/2017 au mont des oliviers situé derrière le village des Ndres sur la colline servant de couverture au camp militaire de Kassaï, Gbangouma , Ouango, Landja, Mboko, etc.

Suite à cette révélation, 4ans et 3mois durant, j’ai été poussé par une parole de connaissance à informer tous les centrafricains. La cause de cette souffrance a été organisée et planifiée dès avant l’indépendance jusqu’aujourd’hui.

Avant cette révélation, j’ai subi avec succès un entretien d’entrée au Lycée français Charles de Gaulle. Le Père (NDLR Dieu) m’a ordonné d’aller d’abord au mont des oliviers avant de commencer à enseigner dans ce dit établissement. Je me suis tenu à cela. Ne voulant pas aller seul, par amour ardent, je l’ai prié d’associer à moi les frères et Sœur Daniel Yangathi et Marie Béatrice Ndata pour faire un chiffre trinitaire. Ma demande a été exaucée. Des consignes nous avaient été données : N’être que dans une tenue, sans natte ni nourriture, mais seulement de l’eau pour notre toilette du matin et du soir. Après nous être sérieusement préparés en conséquence, Marie Béatrice et moi avions quitté à 16h pour Kassaï précisément devant l’Eglise des Frères où nous avions acheté des bougies et allumettes. Le frère Daniel devait nous rejoindre au mont le samedi parce qu’il était empêché par le travail.

Ayant fini les achats, nous avions quitté à 17h pour arriver au mont des oliviers à 22h27 après une longue marche de nuit sur une piste couverte d’herbes touffues avec l’aide d’une lampe torche. Chemin faisant, on se voyait perdu et le Père nous dit, levez-vous et marchez, puisque l’ennemi ne voulait pas que nous y arrivions. Notre joie était très grande pour avoir vaincu l’impossible et découvert pour la première fois ce bien situé en pleine forêt inhabitée, dans la louange et l’adoration. Voulant aussitôt commencer à prier, le Père nous avait demandé de nous reposer un peu après la longue marche.  Nous avions fait la grande prière à minuit et 3h. Pendant la prière de 6h, Christ nous avait demandé d’aller prier sa Mère devant la grotte avec le rosaire. A la fin, nous étions revenus au mont sur le gros rocher à 12h pour l’angélus. Ainsi, sur un rocher à quelques 3 mètres de la croix du Christ, après un moment de méditation, nous étions entrés dans le vif de cette rencontre et j’ai dit : Seigneur Dieu le Père, c’est toi qui nous as invités en ce lieu qui est le tien, entretiens nous, nous t’en prions. Il nous a entretenues par la bouche de Marie Béatrice et moi je prenais note.

2) Aussitôt, je vois l’image du fondateur de la République Centrafricaine (RCA) tout souriant et brillant, les yeux fixés au ciel et ensuite il apparait une deuxième fois la tête baissée. Le Père me dit : Que comprends-tu de ces deux images ? J’ai répondu. Ces deux images expriment la joie et le regret. Lui à son tour de nous expliquer que c’est la joie pour l’indépendance acquise et le regret pour avoir signé un faux document, celui de la franc-maçonnerie suite à une longue incantation du colonisateur dans la confrérie avant de le lui présenter. Dans la précipitation, il a signé ce document sans consulter le Très-Haut, bien qu’étant prêtre inspiré. S’étant mis, après à prier, il lui avait été révélé que c’était un faux document. Voilà que cette petite erreur a fait sceller notre sort. Or, le colonisateur avant la signature, avait planifié sa déportation par un accident d’avion pour que ce secret demeure toujours caché aux centrafricains.

Ensuite, le drapeau apparait à mes yeux et le Père me dit : quelle est la position de la bande rouge ? J’ai rependu elle coupe les autres bandes en leur milieu. Selon toi, où devait-on la placer ? Elle devait être aussi parallèle aux autres sous la bande jaune. Et, il me dit c’est vrai, mais la bonde rouge coupant les autres au milieu exprime nos bénédictions enterrées, et préfigure l’écoulement du sang des centrafricains au profit du colonisateur, nous plongeant dans une grande misère jusqu’à la fin du monde, comme si c’est lui qui avait créé l’univers.

Cette révélation avait lieu le vendredi, 27/10/2017 de 13h à 14h30min. Les heures de prière pour les deux premières nuits étaient les suivantes : 18h, 21h, 24h, 3h y compris 6h dans la nuit du vendredi 27 au samedi 28/10/2017. Je demande aux autorités et à l’Eglise d’être prudentes, avant l’arrivée des partenaires étrangers, d’observer un moment de prière pour l’orientation divine afin d’éviter tout dérapage dans le traitement des dossiers de partenariat, de coopération avant la signature.

3) Le samedi, 28/10/2017 après la prière de 12h, une pluie diluvienne s’était longuement abattu sur nous pour notre purification et sanctification, et s’arrêtait juste au moment où Daniel arrivait tout mouillé. Nous n’avions prié ce samedi qu’à 18h et 24h nous permettant de nous reposer un peu sur le rocher car les nuits précédentes étaient consacrées à la prière. Le dimanche 29/10/2017, après la prière de 6h, le frère Daniel sortit de son sac du café et de la nourriture que nous avions bu et mangé pour renforcer notre chair affaiblie par le jeune Esther. Un moment après, nous avions balayé tout l’endroit et nettoyé la statue de la Sainte Vierge Marie. Pendant la prière finale pour notre descente à 12h, le Père m’avait recommandé d’en faire le compte rendu au cardinal Dieudonné Nzapalainga dans les trois jours qui suivent. La rencontre avec lui avait bien lieu le mercredi 1er /11/2017 au cours de laquelle je lui avais sérieusement parlé de la noble et difficile mission que Dieu lui a confiée à accomplir dans notre pays et partout ailleurs.
C’est après cette invitation divine que j’ai commencé à enseigner au Lycée Charles de Gaulle où j’ai subi beaucoup de persécutions jusqu’à échapper à la mort attendant avec assurance la victoire centrafricaine aujourd’hui réalisée qui m’a donné l’occasion de prendre ma retraite le 20/4/2021.

Très chers centrafricains, croyez que rien n’est caché aux yeux de Dieu, car tout ce qui est caché sera mis à la lumière. C’est Dieu lui-même, je vous le dis en toute vérité, qui a inspiré les autorités pour la relation diplomatique avec le Rwanda, même la Russie pour notre libération.

Malgré cette victoire, il y a encore des cas d’assassinat d’innocents et certains méchants. Tout cela se passe pour que la pollution provoquée par Satan le diable disparaisse définitivement de notre pays. Dieu révèle ses mystères à qui il veut pour sa propre gloire. Voilà pourquoi, ne voulant pas voiler comme moise ce que j’ai vécu, je me suis vu obliger de porter à la connaissance de tous les centrafricains pour qu’ensemble, nous trouvions, sans esprit d’ethnie, une issue réelle à la réconciliation et à la paix qui ne vient que de Dieu à travers le précieux sang de son Agneau immolé qui purifiera certainement nos cœurs pour une Centrafrique nouvelle nourrice de l’humanité tout entière.

4) Si les autorités et l’Eglise avaient vraiment compris le sens de l’ouverture de la porte sainte et la proclamation de Bangui Capitale spirituelle du monde, le sort du colonisateur serait déjà scellé et le nœud du blocage de notre pays défait après un travail spirituel fait avec corps, âme et esprit. Les centrafricains ignorent que Jésus, depuis 36 ans, a posé son pied droit sur notre terre et fait couler son sang dans le creux d’un rocher sur un mont situé à 33km de Bangui. Cette empreinte a rempli notre terre de toutes sortes de richesses couvertes d’une nappe divine que le colonisateur doit absolument perdre au profit d’autres pas pour confirmer la parole divine concernant la Centrafrique par la bouche du Souverain Pontife du 29/11/2015 à la Cathédrale Notre Dame de l’Immaculée Conception de Bangui.

L’auteur de cet écrit et porteur de cette révélation demande aux autorités et à l’Eglise de programmer un moment spirituel de 3 jours pour ce dialogue inclusif qui se pointe à l’horizon afin de mettre Dieu à l’épreuve parce que la Centrafrique a été proclamée pour Jésus.

Que la main droite de Dieu demeure toujours sur notre pays comme je l’avais vue sur la carte de Centrafrique pendant le carême 2015, le deuxième jour de la semaine sainte à la grotte de la Paroisse Saint Paul des Rapides.

A tous mes frères et sœurs Centrafricains la joie joyeuse de vie. Amen.

Pascal Ngbanda Tel : 75 50 56 96/ 70 07 22 76.